Malheureusement, Twitter, Facebook et la plupart des réseaux sociaux mainstream bloquent tout lien vers Brighteon. Je contourne leur censure par cette procédure en deux étapes.
Le lien pertinent vers Brighteon est ici.
https://www.brighteon.com/2f11c49e-a98f-4cc4-8985-dd0e7ad96f25
La vidéo commence avec deux femmes assises sur une plage au bord de l'océan. Objectivement, le risque sanitaire est nul. Et pourtant, on vient les déloger. Il était dangereux pour la santé publique d'être assis sur une plage ouverte à tous les vents tandis qu'il était au contraire meilleur pour la santé publique d'être assis dans un restaurant en local fermé plutôt que debout.
Il ne faut pas zapper. Ce même Etat qui a pu empêcher ses citoyens de s'éloigner d'un kilomètre de chez eux serait incapable d'empêcher des criminels qu'il connaît et a fichés de tuer à l'arme blanche, de perpétrer des viols barbares ou de renverser un policier après un énième épisode de comportement de chauffard ?
A un moment donné, il devient indispensable de regarder les choses en face et de les nommer. Nous sommes dans des Etats qui ne servent plus le bien public mais qui sont au service du mal.
Mc Rignol et sa pègre seraient un barrage contre l'extrême-droite ? Pardon mais je ne me souviens pas d'avoir vu en France un pouvoir aussi objectivement fasciste que le sien depuis que j'ai ouvert les yeux et cela commence à faire un sacré temps. Parmi les gens que j'ai rencontrés qui se sont levés contre cette oppression arbitraire sans précédent des libertés publiques, je ne dis pas qu'aucun n'était d'extrême droite mais ce n'était pas la majorité. C'était surtout des gens extrêmement pour le respect du Droit, ce qui est fort différent.
Alors, quand ces crypto-fascistes à la Mc Rignol nous taxent de gens d'extrême droite quand nous exposons leurs insolentes violations du Droit et des libertés publiques, ils ne font qu'user du même procédé qui consiste à taxer de complotistes ceux qui démontrent que leurs "vaccins" ne sont ni sûrs, ni efficaces.
Nous avons un devoir de mémoire, comme ceux qui avaient vécu les horreurs du nazisme, de même essence eugéniste.
Dans la vidéo, on voit que, oui, il y a bien eu une corrélation entre l'augmentation des morts en établissements hospitaliers pour personnes âgées dépendantes et la libéralisation de l'administration du Rivotril par l'administration de ce même Mc Rignol (décret Philippe-Véran du 28 mars 2020)
qui avait empêché l'accès à l'HCQ et à la chloroquine. Cela n'a rien d'anodin. Il s'agit du crime d'homicide volontaire avec la circonstance aggravante qu'il s'agissait de personnes vulnérables. Vraiment, vous ne voyez pas l'analogie avec les débuts du nazisme ?
Très tôt, les voix honnêtes nous dirent que les "vaccins" n'empêcheraient pas la transmission, puis qu'ils ne permettaient aucune immunité de groupe, exactement le contraire des prémisses des mesures prises alors. Il était évident que, avec un "vaccin" qui n'empêchait pas la transmission du virus, le règlement "green certificate" de la bonne Ursula von der Leyen était une colossale imposture.
Le résultat, nous le savons bien, ce fut un déferlement de décès et d'effets secondaires gravissimes.
Alexandra Henrion-Caude, Luc Montagnier, Dolores Cahill avaient dès le début alerté que l'injection d'ARN messager, vu sa capacité à se recombiner avec l'ADN du génome, serait intrinsèquement cancérigène. Et c'est bien ce qui se vérifia avec l'explosion des cancers et des turbo cancers. Mais l'oncologue canadien dans la vidéo y ajoute un autre facteur, le fait que ces "vaccins" contrarient la production des anticorps IgG1 et IgG3 qui veillent à éliminer les cellules potentiellement malignes qui surviennent dans l'organisme.
On constate aussi une déficience immunitaire acquise de vaccinés, une lente et inexorable érosion de l'efficacité du système immunitaire, une sorte de sida vaccinal !
Et puis, il y a les "morts soudaines". Pourrons-nous jamais accepter comme normales les morts soudaines d'enfants et d'adolescents ? Oh non, il n'est pas temps de tourner la page.
La vidéo montre aussi que M. Delfraissy reconnaît avoir subi des pressions politiques pour empêcher l'accès à la chloroquine. Ah bon ? Et il n'y a pas résisté ? Avant, cela s'appelait "forfaiture". Même si la qualification juridique a changé, le délit demeure.
Et de tels aveux se multiplient. Voyez les regrets de Robert Redfield et de Mark Zuckerberg aux Etats Unis.
Alors non, alors que, en ce mois de septembre, l'OMS corrompue jusqu'à la moelle des os va tenter une énième fois de circonvenir les Etats pour faire passer un traité pandémie qui donnera à cette marionnette de l'industrie pharmaceutique des pouvoirs régaliens qui affecteront directement nos droits fondamentaux, notre droit au consentement libre et éclairé aux actes médicaux, notre droit, acquis sur la condamnation des complices de Mengelé, de refuser d'être les cobayes d'expérimentations médicales, le moment n'est toujours pas venu de baisser la garde et de tourner la page du coronacircus.
Nous voulons l'ordre qui résulte des droits fondamentaux et des libertés publiques chèrement acquis par la résistance de nos pères. Nous ne voulons pas de leur ordre de mensonge et de meurtre qu'ils s'emploient en ce moment à instaurer en favorisant le chaos.